Dans ma série de billets d’humeur devenue culte, « Hubert a des p*bip*ains de problèmes dans la vie », je souhaitais aborder aujourd’hui : L’Histoire du « Cédï-ion ».
Il y a bien des années, des pages dérobées dans des dossiers ultra-top-importants de l’armée américaine avaient circulé un court moment sur le Dark Net. L’Internet parallèle et clandestin n’en était qu’à ses balbutiements et la CIA n’avait pas pris le contrôle absolu de chacun des faits et gestes des pirates informatiques qui y sévissaient. Même Julian Assange n’était encore qu’un adolescent boutonneux qui jouait dans sa chambre à Space Invaders sur sa console Atari.
Probablement la raison pour laquelle l’information n’avait finalement retenu l’attention que de quelques personnes, qui ont depuis disparu dans des circonstances mystérieuses, voire ballot(es). A cette époque, les armées US et québécoise fricotaient ensemble sur des expériences un peu étranges. Ces fameux documents ultra-top-importants évoquaient en fait une nouvelle arme chimique redoutable testée sur des rats puis sur des babouins et qui risquait de causer des dommages sans précédent sur ses cibles potentielles… Nous avons depuis compris, mais malheureusement trop tard…
Cette arme en question, nom de code « Cédï-ion », était en fait un appareil de destruction massive sophistiqué, à usage sonore (ultrason) comme visuel, provoquant une perte des sens et des repaires, tels que le goût, le jugement de valeur et l’objectivité, suivie d’un saignement abondant des yeux et des oreilles. L’appareil fut ensuite monté et intégré sur des clones Cyborgs de type féminin. Lorsque le département concerné fut fermé pour cause de budget non-alloué, les prototypes furent désactivés. Vraiment ?
Eh bien non, car plusieurs parvinrent à échapper à la destruction. A moins que nous ayons eu affaire à un cerveau assez malade pour laisser délibérément en liberté certaines de ces machines qui allaient semer ruine et désolation sur leur passage. Depuis ses tout premiers tests en laboratoire, le « Cédï-ion » fait des ravages partout dans le monde. Une autre arme toute aussi dangereuse, même si elle fut conçue à l’époque de la guerre froide, a comme nom de code le « Mi-Reï Ma-Tïeu », un droïde capable de faire exploser la moindre tête d’humain dans un rayon de 200 mètres, tout ça rien qu’avec ses cordes vocales aux infrasons destructeurs. Et des rumeurs persistantes courent sur la dissémination parmi la population d’un « Mar-ïa Ka-Raie » et plus récemment, du terrible « A-Del »…
Mais vous n’êtes pas obligés de me croire…